Les transitions en fast-catch et endurance

Un article très instructif proposé il y quelques années par Olivier Chelmas, avec des vidéos pédagogiques :

Pourquoi des conseils sur les transitions en Fast Catch ?
Très souvent les lanceurs sont à la recherche d’un boomerang de vitesse très performant afin d’améliorer leur record dans cette épreuve. Fabriquer ce type de boomerang n’est pas si simple…
Les facteurs de la performance dans cette épreuve de vitesse sont multiples et les transitions sont un domaine très souvent mal exploité.
Pendant de nombreuses années j’ai eu beaucoup de mal à caractériser et à mettre les bons mots sur ce qui fait une bonne transition (au-delà du temps mis pour l’exécuter !!!). Je vous propose ici l’aboutissement de ma réflexion, ce n’est qu’un point de vue, mon approche, si cela peut vous faire progresser alors j’aurais réussi à vous faire partager une partie de ma passion pour cette épreuve.
Bon visionnage !

1. Introduction aux transitions avec un mousse
Afin de bien comprendre ce qui se passe dans une transition, vous allez voir une vidéo avec un boomerang en mousse (le Ché de mon ami Jérôme Royo). La vitesse bien moins élevé de ce type de boomerang vous permettra de voir les points sur lesquels il faut insister, mais je ne vous en dis pas plus pour le moment… Je vous laisse découvrir ;o) !!!

 

1-Introduction aux transitions avec boomerang mousse

 

2. La position des pieds
Le « jeu » des pieds fait partie intégrante de la réussite d’une bonne transition. Vous aller voir que chaque petit pas permet de préparer la position dans laquelle vous aller catcher votre boom. Le mouvement des pieds n’est pas aléatoire, c’est une petite « danse » automatisée afin d’être dans les meilleures conditions pour vos transitions.

2-La position des pieds

 

3. Mise en application
Sur une séquence d’une minute, j’ai essayé d’appliquer toutes les remarques et conseils. Ce n’est pas simple (un pied mal posé, une transition plus longue, deux transitions qui reculent…) mais c’est POSSIBLE !!! Il faut travailler et travailler encore, seul l’entraînement paie… Croyez moi, ça vaut le coup ! Le jour où à Fleurance j’ai établi la 5ème perf mondiale de vitesse avec 16’’57, la joie était immense, indicible. Je vous souhaite sincèrement les mêmes réussites et même joie.

 

3-Mise en application